J’avais eu l’occasion de rencontrer votre défunt père, le sergent-chef Laam Tooro KAMARA, durant la journée du dimanche 13 avril 1980 à Wuro Elimaan (Je préfère Wuro Elimaan plutôt que Dâr El Barka) où j’étais venu faire mes recherches en Histoire dans le cadre de la préparation de ma thèse.
Nous avions discuté longuement sur la situation des Noirs en Mauritanie, sur la question des terres de cultures du Tooro.
Toutes et tous, continuez à faire vos témoignages sur les souffrances physiques et psychologiques que vous avez vécues, que vous continuez de vivre, suite à ces massacres de vos proches parce que qu’ils sont des Noirs, parce qu’ils ne sont pas des Arabes blancs, parce qu’ils sont des Bamana, des Fulɓe, des Sooninko, des Wolof.
Ces témoignages seront exploités dans l’avenir pour transcrire les faits historiques de ces douloureux évènements inhumains que l’Histoire informera aux futures générations qui, elles, vivront (Sikke alaa : il n’y a pas de doute) au sein d’une future République des Droits humains qui remplacera la Mauritanie d’aujourd’hui : la République islamique de Mauritanie du Système Bîdhân soutenue depuis les années 60 par son corps des « Tirailleurs Sénégalais » (H’râtîn) et le collaborationnisme de Bamana, des Fulɓe, de Sooninko et de Wolof.
Participez à la construction du travail de mémoires qui seront exposées un jour dans les musées d’Histoire et enseignées dans les écoles de notre future République des Droits humains pour toutes les citoyennes africaines et pour tous les citoyens africains de ce futur pays : Arabo-berbères (Bîdhân et H’râtîn), Bamana, Fulɓe, Sooninko, Wolof.
Les Africains sont des Noirs aux Leucodermes en passant par les métis (comme si l’être humain n’est pas métissé !!!!!!!!).
Les Arabes Bîdhân qui disent, à travers le racisme anti-Noirs, le chauvinisme pan arabique qu’ils ne sont pas des Africains, retourneront donc dans ce qu’ils appellent les territoires d’origines de leurs prétendus ancêtres qui avaient envahi l’Afrique au milieu du VIIème siècle ; comme des Blancs qui ont quitté le Zimbabwe et l’Afrique du Sud pour retourner en Europe ou aller s’installer en Amérique du Sud (j’ai vu des familles au Brésil en janvier 2001) et Amérique du Nord.
Le Système Bîdhân a fabriqué son drapeau avec une bande de couleur rouge qui symbolise pour lui le sang de ses ancêtres qui avaient lutté contre le colonialisme français !!!!!!. Beaucoup de choses à dire sur ce sujet très complexe.
Et le sang des ancêtres patriotes des Bamana, des «Berbères », des Fulɓe, des Seereer, des Sooninko et des Wolof qui avaient lutté contre l’impérialisme sanguinaire et esclavagiste arabo-musulman ?
Et le sang des Bamana, des Fulɓe, des Sooninko et des Wolof (femmes, hommes, enfants) massacrés en février-mars 1966, massacrés de décembre 1987 au 28 novembre 1990 ?
Pour le Système Bîdhân, verser le sang d’une ou d’un Bamana, verser le sang d’une ou d’un Pullo, verser le sang d’une ou d’un Sooninke, verser le sang d’une ou d’un Wolof, c’est comme si on versait le sang d’une souri. Ce ne sont que des Kwar (ce ne sont que de sales Nègres)
Continuons à lutter pour notre dignité humaine que nous aurons un jour
Hare koko jokki haa poolgu (La lutte continue jusqu’à la victoire finale)
Ibiraahiima Abuu SAL (Abuu Keccel SAL)
-Haayre MBaara-Kasga (Laaw)
-Sinycu Daŋɗe- Ɓoggee (Halayɓe);
-Fimmbo (Damnga)
2017, bowte, 04 aaɓnde (Lundi, 04 décembre 2017)
Nous avions discuté longuement sur la situation des Noirs en Mauritanie, sur la question des terres de cultures du Tooro.
Toutes et tous, continuez à faire vos témoignages sur les souffrances physiques et psychologiques que vous avez vécues, que vous continuez de vivre, suite à ces massacres de vos proches parce que qu’ils sont des Noirs, parce qu’ils ne sont pas des Arabes blancs, parce qu’ils sont des Bamana, des Fulɓe, des Sooninko, des Wolof.
Ces témoignages seront exploités dans l’avenir pour transcrire les faits historiques de ces douloureux évènements inhumains que l’Histoire informera aux futures générations qui, elles, vivront (Sikke alaa : il n’y a pas de doute) au sein d’une future République des Droits humains qui remplacera la Mauritanie d’aujourd’hui : la République islamique de Mauritanie du Système Bîdhân soutenue depuis les années 60 par son corps des « Tirailleurs Sénégalais » (H’râtîn) et le collaborationnisme de Bamana, des Fulɓe, de Sooninko et de Wolof.
Participez à la construction du travail de mémoires qui seront exposées un jour dans les musées d’Histoire et enseignées dans les écoles de notre future République des Droits humains pour toutes les citoyennes africaines et pour tous les citoyens africains de ce futur pays : Arabo-berbères (Bîdhân et H’râtîn), Bamana, Fulɓe, Sooninko, Wolof.
Les Africains sont des Noirs aux Leucodermes en passant par les métis (comme si l’être humain n’est pas métissé !!!!!!!!).
Les Arabes Bîdhân qui disent, à travers le racisme anti-Noirs, le chauvinisme pan arabique qu’ils ne sont pas des Africains, retourneront donc dans ce qu’ils appellent les territoires d’origines de leurs prétendus ancêtres qui avaient envahi l’Afrique au milieu du VIIème siècle ; comme des Blancs qui ont quitté le Zimbabwe et l’Afrique du Sud pour retourner en Europe ou aller s’installer en Amérique du Sud (j’ai vu des familles au Brésil en janvier 2001) et Amérique du Nord.
Le Système Bîdhân a fabriqué son drapeau avec une bande de couleur rouge qui symbolise pour lui le sang de ses ancêtres qui avaient lutté contre le colonialisme français !!!!!!. Beaucoup de choses à dire sur ce sujet très complexe.
Et le sang des ancêtres patriotes des Bamana, des «Berbères », des Fulɓe, des Seereer, des Sooninko et des Wolof qui avaient lutté contre l’impérialisme sanguinaire et esclavagiste arabo-musulman ?
Et le sang des Bamana, des Fulɓe, des Sooninko et des Wolof (femmes, hommes, enfants) massacrés en février-mars 1966, massacrés de décembre 1987 au 28 novembre 1990 ?
Pour le Système Bîdhân, verser le sang d’une ou d’un Bamana, verser le sang d’une ou d’un Pullo, verser le sang d’une ou d’un Sooninke, verser le sang d’une ou d’un Wolof, c’est comme si on versait le sang d’une souri. Ce ne sont que des Kwar (ce ne sont que de sales Nègres)
Continuons à lutter pour notre dignité humaine que nous aurons un jour
Hare koko jokki haa poolgu (La lutte continue jusqu’à la victoire finale)
Ibiraahiima Abuu SAL (Abuu Keccel SAL)
-Haayre MBaara-Kasga (Laaw)
-Sinycu Daŋɗe- Ɓoggee (Halayɓe);
-Fimmbo (Damnga)
2017, bowte, 04 aaɓnde (Lundi, 04 décembre 2017)